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Au beau milieu de l'automne
La saison s'étonne... s'étonne
De tant de feuilles mortes
Sur le sol...sol.
Dans les belles flaques
Le bruit...floc...floc
Ps : la saison bien engager le froid bien arriver on se couvre de son long manteau pour avoir plus chaud.Profitez de cette belle vidéo..
Belle journée
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Hommage aux poilus
L’histoire me fait dire,
Et me fait même écrire,
Sans hommes vaillants,
Au coeur noble et fragile,
Serions-nous aujourd’hui vivants ?
Avec sa frêle silhouette,
Rien n’a entamé l’éclat de son regard,
L’aîné a plus de cent ans.
Une larme coule… il se rappelle,
Tous ses compagnons morts au combat.
En un éclair sa mémoire revient,
Là-bas, dans les tranchées les bruits sourds,
Des obus et des mortiers, tremblent leurs mains.
Leurs visages éclaboussés par le sang et la boue.
Le 21 février 1916, Verdun
Un déluge de feu diabolique se déverse,
Roulant s’abattant sur les hommes,
Cris… hurlements imprime l’histoire.
La guerre rouge d’une densité affreuse,
Puis au lointain, un silence foudroyant.
Une voix forte s’élève dans la nuit :
- On les aura s’écrie Pétain !
Dans une lutte acharnée,
Les Français et outre mersS'opposent contre les allemands,
Sur la plaine du chemin des dames,
L’horreur immaculé de sang frais.
Peu d’eau et de nourriture,
Rythmait leur quotidien,
Par le manque de couverture,
Les corps cherchaient un maintien.
Jour et nuit l’innommable absolue,
Les esprits dépouvus d’espoir, se déchaînaient,
Sans répit, dans ce carnage foutu,
Au-delà des mots qui le permettaient.
Souffrant dans leurs chairs mutilées,
Pitié pour nous !Pauvres forçats de guerre.
Nous ne sommes plus que des hommes brisés,
Nous demandons humblement le respect.
Avec courage et détermination,
Ses hommes ont fait don de leur vie.
Pour conserver intacte la liberté d’autrui,
Ils marquent nos âmes pour toujours,
Dans le symbole de la Patrie.
Arlette Philboisps : La guerre de 1914-1918 qui devait être la » der des der » a fait plus de 9 millions de morts et près de 20 millions de blessés dont la moitié de mutilés.
Avec de nombreuses veuves et de nombreux orphelins.Si mon texte vous interpelle je vous l'offre volontiers pour qu'on n'oublie pas que nous leurs devons notre vie.
Poilu :
Poilu, est le surnom donné aux soldats français de la Première Guerre mondiale. Ce surnom est typique de cette guerre, et ne fut utilisé qu’en de rares et exceptionnels cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le mot « poilu » désignait aussi à l’époque dans le langage familier ou argotique quelqu’un de courageux, de viril (cf. par exemple l’expression plus ancienne « un brave à trois poils », que l’on trouve chez Molière, de même les expressions « avoir du poil » et « avoir du poil aux yeux »1 ) ou l’admiration portée à quelqu’un « qui a du poil au ventre ».
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