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Se ressaisir
Tina Arena "Aimer jusqu'à l'impossible"
Se ressaisir
Les couleurs de la vie
Nous aide à nous relever
Comme un parfum d'été
Suivit de l'envie.
L'envie de tout donner
Le désir d'aimer encore plus.
Si tout a été chamboulé
L'amour est le plus fort.
Toi... qui souffre
Toi... qui pleure la mort
Espère en cette vie meilleure
Elle bonifie notre intérieure.
Les couleurs de la vie,
Nous porte sur les ailes de l'espoir.
Arlette
Tags : ressaisir, vie, envie, toi, couleurs
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Commentaires
Bonjour Arlette .
Nous voila arrivé au mois de Février que je te souhaite agréable .
J'espère que tu vas bien .
Passes un bon Week-end .
Bisous de nous deux .
Coucou Arlette, et oui il faut se ressaisir pour pouvoir continuer. Joli écrit - merci aussi pour Tina Arena ( j'aime beaucoup ) - bisous tendresse et pluvieux
martine
arlette
je t'envoie toutes les ondes positives que je peux
je sais qu'il te faut beaucoup de force
car certains journée ,nous rappelle de bons et mauvais souvenir
j'adore tina et beaucoup cette chanson
bonne journée ma douce
gros bisous
mireille
magnifique ton poème " se ressaisir" !! bonjour Arlette je te remercie de ton doux passage chez moi!!
je viens te souhaiter un très bon week-end prends bien soin de toi bisous d'amitiés de chrys!
Bonjour Arlette
non tu n'es pas exigeante mais plutôt moi qui suis une parfaite idiote . J'espère que tu vas bien et que tu as le moral.
coucou arlette
je vais un peux mieux mais sa vas aller
il pleut a gogo pfff
je te souhaite un bon weekend de gros bisous
bonjour Arlette
tu as un très belle plume et des mots apaisants.. Merci de ton passage et bon week end
amicalement,
Nathiebonjour mon amie
ARLETTE
un gros merçi pour tes commentaires,
et de ta visite ça me fait toujours plaisir.
j'ai lu et aimer ton billet.
je te souhaite un bon week-end.
amitié, tendresse
passionné de MOTO et VÉLO
gros bisous GHISLAIN.
Bonjour Arlette,
Soleil et pluie sur la capitale, un temps bien bizarre !
Comment vas tu ? Passe une bonne fin de journée, amitié, bises, Véronique
Tu en sais quelque chose, Arlette... Qui, mieux que toi, peut évoquer ce sujet ?
Merci de partager ta réflexion sur la vie.
Bonne soirée et gros bisous,
Amitié,
Cathy.
il est touchant ce poème je suis toute émue je te souhaite une belle soirée ti bo du samedi
Bonjour Arletteau delà des clivages
politico clergicales
le Louis d'une main
la poêle dans l'autre
et bonne journée ou soirée crêpes
pour un dimanche
vers le bleu et non le gris
avec mes Amitiés Bisous
J-G-R-C-
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oui l'espoir fait "survivre" ....
passe un doux we ....
et que la pluie qui nous noie le fasse avec poésie ...:):)
bisous
Pluie
Ce nuage est bien noir : - sur le ciel il se roule,
Comme sur les galets de la côte une houle.
L'ouragan l'éperonne, il s'avance à grands pas.
- A le voir ainsi fait, on dirait, n'est-ce pas ?
Un beau cheval arabe, à la crinière brune,
Qui court et fait voler les sables de la dune.
Je crois qu'il va pleuvoir : - la bise ouvre ses flancs,
Et par la déchirure il sort des éclairs blancs.
Rentrons. - Au bord des toits la frêle girouette
D'une minute à l'autre en grinçant pirouette,
Le martinet, sentant l'orage, près du sol
Afin de l'éviter rabat son léger vol ;
- Des arbres du jardin les cimes tremblent toutes.
La pluie ! - Oh ! voyez donc comme les larges gouttes
Glissent de feuille en feuille et passent à travers
La tonnelle fleurie et les frais arceaux verts !
Des marches du perron en longues cascatelles,
Voyez comme l'eau tombe, et de blanches dentelles
Borde les frontons gris ! - Dans les chemins sablés,
Les ruisseaux en torrents subitement gonflés
Avec leurs flots boueux mêlés de coquillages
Entraînent sans pitié les fleurs et les feuillages ;
Tout est perdu : - Jasmins aux pétales nacrés,
Belles-de-nuit fuyant l'astre aux rayons dorés,
Volubilis chargés de cloches et de vrilles,
Roses de tous pays et de toutes famines,
Douces filles de Juin, frais et riant trésor !
La mouche que l'orage arrête en son essor,
Le faucheux aux longs pieds et la fourmi se noient
Dans cet autre océan dont les vagues tournoient.
- Que faire de soi-même et du temps, quand il pleut
Comme pour un nouveau déluge, et qu'on ne peut
Aller voir ses amis et qu'il faut qu'on demeure ?
Les uns prennent un livre en main afin que l'heure
Hâte son pas boiteux, et dans l'éternité
Plonge sans peser trop sur leur oisiveté ;
Les autres gravement font de la politique,
Sur l'ouvrage du jour exercent leur critique ;
Ceux-ci causent entre eux de chiens et de chevaux,
De femmes à la mode et d'opéras nouveaux ;
Ceux-là du coin de l'oeil se mirent dans la glace,
Débitent des fadeurs, des bons mots à la glace,
Ou, du binocle armés, regardent un tableau.
- Moi, j'écoute le son de l'eau tombant dans l'eau.