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Stupéfiants ses hiboux
Je partage avec vous cette belle découverte...
Un très beau camouflage, il faut bien regarder pour le trouver.
On ne voit qu'un oeil c'est ce qui trahit sa présence.
Tags : stupefiants, hiboux, decouverte, belle , partage
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Commentaires
bonjour arlette
bonne idée!!!
et bien voila comme toi
je ne fait rien de précis
beaucoup de brouillard ce matin
donc si le soleil se léve
tantot a la mer
houpi
gros bisous
mireille
Tu es comme ce hibou, Arlette... Tu as l'œil !!
C'est troublant, vraiment !
Bravo et merci pour ces photos.
Bonne journée et bisous,
Cathy.
Bonjour Arlette,
Oh mais c'est beau chez toi, j'adore ta nouvelle déco !
C'est vrai qu'il faut bien regarder, incroyable le camouflage !
Passe un bon jeudi, gros bisous, Véronique
Bonjour Arlette,
superbe cette photo, et si tu ne l'avais dit, je crois que je ne l'aurait pas vu le hibou....
Bonne journée
Bonsoir Arlette,
Tu as bien raison il faut savoir s'arrêter de temps en temps.
J'aime beaucoup tes hiboux, le deuxième est coquin, il se cache.
J'ai eu la chance d'en voir dans la nature, pas trop souvent mais j'ai apprécié.
Bisous et douce soirée,
Allison
Bonjour mon adorable Arlette
Commencer par un peu de bonheur dès le début de la journée
ça ne fait pas de mal, donc je te laisse découvrir le monde
de Françoise, une adorable femme que j’appellerais l'intello de mon
grand cercle d'amis.
Passe la voir et partage ses émotions (actualités, souvenirs).
Un être superbe comme toi qui me lis.
http://www.francoisegomarin.fr/2014/03/13/benevoles/
Ce matin je décline ton invitation café pardon, hi hi, mais
je te promets que je reviens vite ce week end le prendre
avec toi, sauf si les p'tits cochons m'ont mangé lol !
Allez souris donc, j'aime que mes amis soient heureux.
Tu sais quoi ?Le sourire et la bonne humeur c'est le secret de la réussite en tout.
Soucis, maladie, stress, travail, etc...
Avec mon chéri on sourit tout le temps et ça rend les gens
heureux et du coup on est tout le temps heureux, même si
parfois nous aussi on a des soucis hi hi !
Prends soin de toi.
Lolli
Bonjour Arlette .
Belles images , beaux camouflages .
Toujours du beau temps chez nous , qui va durer pour le week-end d'après la météo , après on verra .
J'espère que tu vas bien et ton petit monde aussi .
Je te souhaite une bonne journée avec un bisou de nous deux .
Bon début de semaine ma chère Arlette
Un temps bien maussade ce lundi. Je passe rapidement ( après-midi dial )
ensuite je termine mon nouvel article que j'espère tu aimeras sourire.
Bisous tendresse et calinous de ma Louve et chatounets
magnifique camouflage
martine
bonjour*et bon apres-midi*arlette
Je viens te visiter
Pour y redécouvrir ton joli royaume.
Le primtemps n'est tres présent
Mais en nos coeur il est bien présent
Recoit de moi un beau rayon de soleil
Par de gros bisous chauffer au boit
Recoit ma tendresse et mon amitié
ton amie gladyse.
Très beau camouflage, c'est vrai, mais la nature fait bien les choses. Comme c'est un animal nocturne, pour la plupart, il serait une trop grande proie durant le jour.
Je t'embrasse ma grande
coucou Alette bonjour!
je suis vraiment désolée pour le désagrément si tu est passée sur mon blog mais il était bloqué depuis Samedi soir!c'est un code css qui à mis le désordre maintenant c'est rétablie!
Stéphanie de chez ekla ma répondu que maintenant suite à mon message!!
passe un bon début de semaine et je te fais de gros bisous
chrys.
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le mimétisme!! sur la première photo on ne le voit pas tout de suite lolll
bisous et passe une douce journée ici le ciel est deja bien bleu ....
A la Femme aimée
Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain.
Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l’écume.
Le soir d’été semblait un rêve oriental
De rose et de santal.
Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids.
Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts
En le souffle pâmé des angoisses suprêmes.
De tes clairs vêtements s’exhalaient tour à tour
L’agonie et l’amour.
Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m’apparus.
Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible,
D’infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d’émerveillement.
Mais la strophe monta bégayante et pénible,
Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
Vers ta Divinité.
Renée Vivien, Etudes et préludes